Press release

04/2021

Apprendre les bases de la nutrition, la mission d’Hugo De Winter

On connaissait le Hugo De Winter avec son vélo… Il y a désormais le Hugo De Winter avec des ustensiles de cuisine en main !

Etudiant en troisième année de diététique, le Binchois a mis ses connaissances en la matière à disposition de jeunes sportifs de la Fondation Ladbrokes, lancée par Jean-François Lenvain, à travers un atelier culinaire. Une expérience qui colle parfaitement avec la philosophie de la fondation puisqu’elle a pour but de soutenir les jeunes sportifs selon différents axes, dont la nutrition. « J’ai préparé cette activité dans le cadre de mon travail de fin d’étude, vu que je suis en dernière année. J’ai donc réalisé un petit atelier culinaire avec le groupe Gen360 pour sensibiliser ces jeunes sportifs à la nutrition. Vendredi, j’avais fait un atelier avec les U16 du Standard, et le dimanche avec ces espoirs. »

Pour performer dans le sport, il n’y a pas que l’entraînement. Et les conseils en matière de nutrition sont également un élément important. « J’ai essayé de leur faire comprendre qu’il y a toute une série de choses qui leur permet de s’améliorer dans leur sport. Je prends l’exemple d’un cycliste. Une préparation ne se limite pas à pédaler, il y a d’autres choses à côté. La nutrition en fait partie. Je me suis servi de ma petite carrière mais je trouve ça important que les sportifs soient sensibilisés très tôt à cela. »

Durant cet atelier, Hugo a donc réalisé avec eux trois plats. « Le petit-déjeuner, le dîner et le goûter. On a réalisé un granola, un sandwich avec la bonne garniture et une salade de fruits avec un yaourt. L’idée était de réaliser avec des plats très accessibles, peu coûteux et qui ne nécessitent pas des ustensiles professionnels. Il faut qu’ils puissent les reproduire facilement. Ça devait rester ludique. »

« Ici, c’était un atelier qui était adapté à tous les sports. J’avais des cyclistes mais aussi une athlète de 800m. Il fallait que ça parle à tout le monde. Par la suite, il y aura un suivi avec eux et à ce moment-là, je pourrai leur donner des choses plus spécifiques. Le sport de haut niveau m’a toujours attiré. Si je peux y mettre un pied grâce à mes études, ce serait une grande satisfaction. »

Et ce premier atelier a visiblement tapé dans le mille.

Bertrand Lefebvre